Le départ d’Eric Ngoy Kayombo de la présidence de la délégation syndicale de la Société Nationale d’Electricité, SNEL, a laissé au sein de cette dernière une crise de leadership qui à son tour est en train de donner libre cours à des murmures.
Ces dernières font état d’un souci révélé de la part des agents et cadres en faveur du retour de l’homme cité à l’ouverture de cet article.
A les croire, la personne qui l’a remplacé à son poste ne vaut pas un penny.
Depuis son départ de la tête de la dite délégation et son remplacement par le Président délégué syndical actuel, rien ne marche dans cette entreprise du Portefeuille en charge de la desserte de l’électricité à l’échelle de la République Démocratique du Congo.
Quoi de plus spectaculaire que ce qui se passe au sein de la SNEL depuis les semaines ayant fait suite à la date du départ d’Eric Ngoy de son poste de Président syndical et de son remplacement par son successeur actuel ?
Eric Ngoy, faut-il le souligner, a quitté son poste suite aux fausses accusations, pendant que son départ est à l’heure actuelle l’objet d’un regret amer de la part de cadres et agents, y compris même ceux qui militèrent, comme par ignorance, en faveur de son éjection de sa chaise.
Son remplaçant, au moment où cette information est sur votre ‘’table de lecture’’, se trouve être l’objet d’un tollé général pour gestion calamiteuse, pire que celle laissée par le prédécesseur.
En un mot, cadres, agents et délégation syndicale de la Société Nationale d’Electricité sont en train de réclamer le retour de celui qu’ils viennent de reconnaître avoir été chassé par erreur d’interprétation de la situation.
Tous sont unanimes et ne jurent que par le départ de celui qui est en place ainsi que le retour de celui qui a été son prédécesseur. Comme qui dirait : ‘’Celui qui vient après moi m’a précédé ’’.
St. G.E.