Partis politiques, mouvements citoyens et certaines confessions religieuses de la province lacustro-forestière de Maï-Ndombe s’inscrivent en faux contre certains noms qu’ils trouvent incompatibles avec les attentes des populations ‘’aquanégrine’’ qui ont réussi à dresser le profil que devrait avoir le prochain Gouverneurs et Vice-gouverneur dans leur province.
Ces aquanégrins veulent avoir à la tête de cette grande province à la fois lacustre et forestière, quelqu’un capable de booster le développement de cette dernière qui jusqu’ici a l’air d’être abandonnée à son triste sort.
C’est le cas de ceux regroupés au sein de la Dynamique UDPS/Grand Bandundu, avec à sa tête Henri Kabwa qui parle de sa province comme devant avoir à sa tête un combattant aguerri, avec une probité morale avérée doublée d’une compétence hors pair et susceptible de placer au premier plan de ses préoccupations les desiderata du peuple.
C’est ce qu’explicite Stéphane Mbo Mukuba, coordonnateur national intérimaire, du cercle des jeunes du Mai-Ndombe qui souhaite en plus, avec l’aval de tous ceux avec qui il partage la même province, que leur prochain gouverneur soit quelqu’un doué de capacités managériales entachées à la fois d’honnêteté et de sens démocratique.
Les confessions religieuses ne sont pas restées en laisse ; C’est le cas de la communauté islamique du Mai- Ndombe, dont le meneur de jeu, Issa Izamba, a fait le choix de remettre ce tant attendu processus électoral entre les mains du Souverain Electeur, à savoir Dieu, afin qu’il ;puisse leur élire un dirigeant qui aura son oreille en permanence braquée sur les besoins de ses gouvernés.
Les aquanégrins attendent donc avec impatience le plaisir de voir leur province atteindre son développement harmonieux, à travers tous ses huit territoires.
Saint-Germain Ebengo
