
Syndicalistes véreux, mafieux et opérateurs économiques complotent contre l’homme qui a brisé leurs combines
Kinshasa, 30- Octobre , L’ONATRA, entreprise publique stratégique, connaît depuis quelque temps une série de réformes courageuses et nécessaires sous l’impulsion de son Directeur Général, Martin Lukusa. Pourtant, une coalition hétéroclite, composée de syndicalistes frustrés, de mafieux et d’opérateurs économiques mal intentionnés, tente par tous les moyens d’entraver cette dynamique de redressement.
Ce jeudi, une poignée d’individus a organisé un sit-in devant la Primature, une action présentée comme une « manifestation syndicale », mais qui n’est en réalité qu’une mascarade montée de toutes pièces. En effet, comment croire à la représentativité d’un mouvement qui ne rassemble que quelques personnes, visiblement « ramassées dans la rue » et motivées par des miettes financières ?
Une entreprise en reconstruction malgré les résistances
Rappelons un fait essentiel : Martin Lukusa a hérité d’une ONATRA exsangue, une entreprise à l’agonie. Depuis sa prise de fonction, il s’attelle avec rigueur et détermination à assainir les finances, à restructurer l’administration et à mettre en œuvre les instructions et la vision du Chef de l’État. Les résultats commencent à se faire sentir, et cela dérange visiblement ceux qui profitaient des anciennes combines.
Les véritables employés de l’ONATRA, qui sont plusieurs milliers, n’étaient pas dans la rue. Ils sont au travail, conscients des enjeux et probablement soulagés de voir enfin une gestion intègre et tournée vers l’avenir.
La révélation choquante : une alliance impie contre la bonne gouvernance
La situation est plus grave qu’il n’y paraît. Il est aujourd’hui évident que ces syndicalistes manipulateurs se sont ligués avec des mafieux et certains opérateurs économiques véreux dans le seul but de barrer la route à Martin Lukusa. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est devenu l’homme à abattre, celui qui a fermement bloqué toutes leurs combines et refusé de coopérer avec leurs réseaux parallèles.
Ces acteurs malveillants, habitués à siphonner les ressources de l’entreprise à travers des montages opaques et des contrats douteux, ne supportent pas de voir en Martin Lukusa un dirigeant intègre qui résiste à leurs pressions et refuse toute compromission. Leur objectif commun : faire tomber le seul rempart qui les empêche de poursuivre leurs activités illicites.
Des syndicalistes qui confondent représentation et ingérence
La question doit être posée : pourquoi ces syndicalistes entendent-ils s’immiscer dans toutes les décisions, y compris celles qui relèvent exclusivement de la gestion courante et des prérogatives de la direction ? Leur rôle est de défendre les intérêts des travailleurs, pas de se mêler de la stratégie opérationnelle ou de vouloir co-gérer l’entreprise aux côtés du Conseil d’Administration.
Il est évident que certaines mauvaises habitudes ont la vie dure. Sous couvert de « dialogue social », une frange syndicale était habituée à négocier des arrangements opaques, à monnayer son silence ou sa complaisance. Martin Lukusa a mis fin à ces pratiques, bloquant résolument l’accès aux « mangeoirs » et aux réseaux mafieux qui saignaient l’entreprise. D’où cette colère feinte et ces tentatives de déstabilisation.
Une manipulation évidente de l’opinion
La scène de ce sit-in, tristement comique par son manque d’ampleur et son artifice, est une insulte à l’intelligence des agents. Elle vise à créer une fausse image de conflit social, alors que la grande majorité des agents de l’ONATRA soutiennent les réformes en cours.
Nous alertons l’opinion publique nationale : ne vous laissez pas tromper. Cette prétendue « colère » est un coup monté par des individus mal intentionnés, dont le seul objectif est de revenir à l’ère du pillage et de l’impunité. Ils ne représentent qu’eux-mêmes et leurs intérêts égoïstes.
Soutien à une gestion vertueuse
Aujourd’hui plus que jamais, il faut soutenir les dirigeants intègres qui, comme Martin Lukusa, ont le courage de prendre des décisions impopulaires mais nécessaires pour le redressement de notre pays. Le chemin de la performance et de la transparence est semé d’embûches, mais il est le seul viable.
La majorité silencieuse des travailleurs et des citoyens salue le travail accompli et rejette ces manœuvres de déstabilisation. L’ONATRA avance, et rien ni personne – et surtout pas une coalition d’intérêts suspects – ne l’arrêtera.
Vive l’ONATRA rénovée ! Le tonnerre
 
										 
  
			 
                             
                            