
L’ONATRA a mis fin à une période d’agitation orchestrée par trois syndicalistes désormais reconnus comme les principaux instigateurs d’une vaste campagne de désinformation. Coupables d’avoir propagé de faux bruits dans les médias, manipulé le personnel, diffamé les dirigeants et perturbé l’ordre public au sein de l’entreprise, ils ont été licenciés sans préavis par décision ferme du Conseil d’Administration.
Une campagne de mensonges qui a visé à nuire à l’entreprise
Ces syndicalistes n’ont cessé de diffuser de fausses informations, inventées de toutes pièces, dans le seul but de salir la réputation de l’ONATRA. Les bruits colportés dans les réseaux sociaux et certains médias n’étaient soutenus par aucune preuve ni élément concret.
Déterminés à créer la confusion, ils ont mené des actions de sabotage interne, utilisé des menaces contre des agents, manipulé plusieurs services et tenté de se présenter publiquement comme porteurs d’une légitimité qu’ils n’ont jamais eue.
Les agents, lassés de leurs comportements toxiques, ont unanimement rejeté leurs méthodes et refusé de les suivre dans leurs dérives.
Une décision ferme du Conseil d’Administration fondée sur des fautes avérées
Dans sa séance extraordinaire du 03 novembre 2025, le Conseil d’Administration a tranché : les trois syndicalistes sont coupables de multiples violations graves, confirmées par le Rapport d’Audit interne et consignées dans le document officiel de licenciement. Les faits retenus incluent notamment :
Propagation de fausses informations et déclarations diffamatoires ;
Externalisation abusive et illégale de dossiers internes ;
Dénigrement systématique des organes de direction ;
Menaces et intimidations envers les agents ;
Détournement de fonds ;
Abus perpétré contre un membre de l’ordre public ;
Indiscrétion professionnelle ;
Incitation au désordre et refus de se conformer au règlement ;
Absence prolongée et injustifiée.
Tous ces éléments, reconnus et établis par l’audit, constituent des fautes lourdes rendant impossible toute poursuite de collaboration avec l’entreprise.
Des syndicalistes isolés, sans soutien du personnel
Contrairement à ce qu’ils tentaient de faire croire, aucun agent ne s’est rangé derrière eux. Leur combat n’était motivé que par des ambitions personnelles et une volonté évidente de déstabiliser l’entreprise.
Leur prétention de parler « au nom du Conseil d’Administration » a d’ailleurs été dénoncée comme une manipulation grossière, qui a fini de convaincre les décideurs de la nécessité de mettre fin immédiatement à leurs fonctions.
L’ONATRA rétablit l’ordre et défend son image
En appliquant rigoureusement la décision du Conseil d’Administration, le Directeur Général, Martin Lukusa Cibangu Panu, a confirmé la volonté de l’ONATRA de restaurer un climat de sérénité et de discipline.
Le licenciement immédiat des trois syndicalistes coupables marque une étape importante dans la lutte contre les manœuvres de déstabilisation et réaffirme l’engagement de l’entreprise à protéger son image et le bien-être de son personnel.