« Ne jamais trahir le Congo ».
Cette phrase, prononcée par le feu Mzee Laurent-Désiré Kabila, n’est ni un simple slogan ni une émotion passagère. C’est un serment, un appel à la conscience nationale, une ligne rouge que tout Congolais digne de ce nom ne devrait jamais franchir.
Trahir le Congo, ce n’est pas seulement livrer le pays à des intérêts étrangers. C’est aussi prendre les armes contre ses propres frères, semer la mort, la peur et la désolation pour satisfaire une ambition personnelle ou un agenda caché. C’est croire, à tort, que le pouvoir se conquiert par la violence alors qu’en réalité, le pouvoir appartient au peuple, et à lui seul.
L’histoire de notre pays nous enseigne une vérité amère :
👉 chaque guerre retarde le développement,
👉 chaque rébellion détruit des vies innocentes,
👉 chaque arme tournée contre un Congolais est une trahison du Congo.
Si chaque citoyen, chaque groupe, chaque tribu décidait de prendre les armes dès qu’il est mécontent, notre pays serait condamné à un cycle éternel de violences. Dans ce chaos permanent, quand construirons-nous des écoles ? Des hôpitaux ? Des routes ? Quand parlerons-nous réellement de développement, de dignité et d’avenir pour notre jeunesse ?
Il faut le dire avec force :
👉 prendre les armes pour accéder au pouvoir est condamnable,
👉 tuer des Congolais pour gouverner le Congo est une aberration morale et patriotique.
Dans une nation responsable, les différends se règlent par des moyens légaux, démocratiques et pacifiques. Si un dirigeant déçoit, le peuple peut le sanctionner. Si une politique échoue, le peuple peut la rejeter. Mais jamais, au grand jamais, la violence ne doit être une option.
Trahir le Congo, c’est accepter que le sang congolais coule pour des intérêts égoïstes.
Aimer le Congo, c’est protéger la vie, préserver l’unité nationale et refuser toute idéologie de guerre, qu’elle vienne de l’intérieur ou de l’extérieur.
Aujourd’hui plus que jamais, face aux conflits qui endeuillent encore certaines régions de la RDC et de l’Afrique, nous devons condamner sans ambiguïté l’esprit de guerre. Nous devons enseigner à nos enfants que le patriotisme ne se mesure pas par la force des armes, mais par la fidélité à la nation et le respect de la vie humaine.
Que cette phrase résonne dans la tête et dans le cœur de chaque Congolais :
ON NE TRAHIT PAS SON PAYS.
ON NE TUE PAS POUR LE POUVOIR.
ON NE CONSTRUIT PAS UNE NATION SUR LES CADAVRES DE SES FRÈRES.
Ne jamais trahir le Congo doit devenir une conviction profonde, un principe sacré, une boussole morale pour aujourd’hui et pour les générations futures. 🇨🇩 le tonnerre
