Le Congo, ce géant d’Afrique, riche de ses terres et de ses ressources, est aujourd’hui le théâtre d’une tragédie silencieuse. Dans les zones occupées par les forces rwandaises et sous le regard complice d’un gouvernement absent, les Congolais sont réduits à l’état d’esclaves. Pire encore, des étrangers – Indiens, Libanais et autres – traitent les nationaux avec un mépris insupportable, comme s’ils étaient des intrus dans leur propre pays.
Une occupation cruelle : les Congolais torturés et déshumanisés
Dans l’Est de la RDC, les récits des populations locales font froid dans le dos. Les soldats rwandais et leurs alliés armés sèment la terreur : tortures, viols, exécutions sommaires et travail forcé sont devenus le lot quotidien des Congolais. Des familles entières sont chassées de leurs terres, des villages sont rasés, et ceux qui osent résister sont éliminés. Le silence de la communauté internationale est assourdissant.
Pendant ce temps, à Kinshasa, quelques dirigeants semblent plus préoccupés par leurs intérêts égoïstes que par le sort de leur peuple. Dans les zones contrôlées par l’État, la maltraitance des Congolais persiste. Les forces de l’ordre, au lieu de protéger les citoyens, se transforment souvent en bourreaux. L’impunité règne, et la dignité du peuple congolais est piétinée.
Les étrangers qui méprisent le Congo : Indiens et Libanais en première ligne
Dans les villes, une autre forme d’humiliation se déploie. Des hommes d’affaires indiens, libanais et autres exploitent les Congolais sans scrupules. Salaires de misère, insultes, conditions de travail inhumaines – le traitement réservé aux nationaux rappelle les pires heures du colonialisme. Ces étrangers, venus profiter des richesses du Congo, agissent en maîtres, comme si la terre congolaise leur appartenait.
Résistance et appel à la solidarité panafricaine
Face à cette oppression multiforme, le peuple congolais ne baisse pas les bras. Des voix s’élèvent, des mouvements s’organisent. Mais la lutte ne peut être menée seule. L’Afrique tout entière doit se lever pour dénoncer ces crimes et exiger le respect de la souveraineté et de la dignité congolaises.
Il est temps que le monde entende ce cri : le Congo n’est pas une colonie ! Les Congolais ne sont pas des esclaves !
La terre de Patrice Lumumba mérite mieux que l’humiliation. L’heure de la dignité a sonné. Le tonnerre