DGDA : Des accusations d’une banalité extrême contre le DG Bernard Kabese

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A en croire certains canards en ligne, il existerait un malaise social à la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA) entre le Comité de gestion et les travailleurs.

A la base, on indexe le Directeur Général Bernard Kabese Musangu de ne plus octroyer certains avantages dévolus au personnel dans le cadre de la convention collective, de revoir à la baisse les salaires des agents, de refuser le payement des frais de mission et des soins médicaux à l’étranger aux agents malades, de mal gérer les ressources humaines et enfin de fouler au pied les règles textes légaux qui régissent la DGDA.

Au delà du fait que ces accusations ne sont basées sur aucune preuve, il est tout ahurissant de constater ceux qui portent celles-ci contre le Directeur Général Kabese puisse le faire passer comme un patron tout puissant d’une entreprise privée, qui peut décider seul sur tout, sans que personne ne puisse lui demander des comptes.

Concernant les avantages qui ne sont plus accordés aux agents, la question qui vient tout de suite à l’esprit des gens lucides, c’est celle de savoir quels sont ces avantages contenus dans la Convention collective et qui ne sont plus accordés depuis l’avènement de Bernard Kabese à la tête de la DGDA ? D’aucuns ne savent.

Il est reproché également au Directeur Général le non paiement  » régulier » des frais de mission pour les soins à l’étranger. Soit.
Si on analyse bien ce grief, on constate aisément que les frais de missions à l’étranger sont payés, mais pas de façon régulière. D’où cette question :  » A-t-on cherché à savoir pourquoi le paiement n’est plus régulier, avant d’incriminer le DG Kabese ? D’aucuns ne savent.

Les accusateur du numéro 1 de la DGDA prétendent que celui-ci est serait en désaccord avec ses deux adjoints parce qu’il aurait décidé unilatéralement de revoir à la baisse les avantages sociaux.
Qui est cette personne sensée qui peut croire à un mensonge pareil.

De quel pouvoir exorbitant dispose-t-il pour décider, de façon aussi dictatoriale, de retirer aux travailleurs leurs droits acquis ?

N’existe-t-il plus au sein de la DGDA une délégation syndicale capable de prendre en charge une telle question qui touche aux droits fondamentaux des travailleurs ? Il s’agit d’une question qui ne devrait pas concerné un petit groupe d’agents apparemment manipulés pour nuire à l’honneur et à la dignité du DG de la DGDA.

Il est vrai que la gestion des ressources humaines dans toutes les entreprises publiques ou privées ne manque jamais d’engendrer des frustrations. Mais de là à en faire un problème d’Etat pour exiger l’implication du Ministre des Finances et de l’Inspecteur Général des Finances, cela donne l’air d’un vaste complot ourdi pour avoir la tête du Directeur Général.

On voit bien avec quelle malice ces agents veulent exclure les deux Directeurs Généraux Adjoints de ce qu’il qualifient de mauvaise gestion des ressources humaines, pour charger uniquement le DG Bernard Kabese.

Il est quasiment impossible pour un mandataire public aujourd’hui, tout puissant soit-il, de se réveiller un matin, et décider de la majoration ou la diminution des salaires et autres avantages sociaux accordés aux travailleurs, sans consulter au préalable, le Conseil d’Administration ni le Ministre de tutelle.

Ce qui nous a plu dans les articles qui ont été publiés sur instigation des détracteurs de Bernard Kabese, c’est le fait de reconnaître que  » la mobilisation des recettes est en hausse… » En clair, ces personnes sont conscientes du grand travail abattu par le Directeur Général Bernard Kabese et son comité pour doter au Chef de l’Etat et à son gouvernement les moyens pour le développement durable du pays ainsi que pour le retour de la paix à l’EST.

Alors, quand on a un mandataire public qui est maillot jaune en termes d’atteinte des assignations, pourquoi chercher à mettre le bâton dans ses roux ? N’est-ce pas insensé que d’accuser un gestionnaire de megestion, au moment où sa hiérarchie lui décerné des trophées pour ses performances dans le domaine de mobilisation des recettes ?
Il peut y avoir des revendications socio-professionnelles à la DGDA, c’est possible. Mais qu’on laisse le banc syndical et la Direction Générale en débattrent, en vue des solutions idoines. Plutôt que, pour des considérations d’ordre politique, d’allumer le feu.

Le Tonnerre

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