NARCISSE PHAMBU AU FOUR ET AU MOULIN DE L’OPÉRATION ‘’COUP DE POING’’ SUR DES VÉHICULES EN CONTREBANDE À LUBUMBASHI

Cest depuis le 12 novembre 2022 que Madame la Directrice Générale de la Direction Générale des Douanes et Accises, Jeanne-Blandine Kawanda, a déclenché l’Opération ‘’Coup de Poing’’ sur les véhicules entrés en contrebande à Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga.

Le Directeur Provincial de la DGDA de l’ex-Katanga, Le DP René Kalala, conscient du rôle qu’il a à jouer
dans cette opération initiée par sa Directrice Générale, n’a pas tardé à intérioriser en bonne et due
forme le sens de sa mission. C’est au point que, au stade actuel, il a réussi, avec l’aide de son sous-directeur provincial en charge de la brigade contre la fraude douanière, Monsieur Narcisse Phambu Ngembo, à saisir, dans une trentaine de parkings, une flotte évaluée à 1145 véhicules, arrivés à Lubumbashi par voie de fraude. En termes clairs, ces véhicules sont parvenus à traverser par des voies autres que celles douanières, la plupart parmi eux ayant réussi à prendre la tangente en
passant par la brousse.
L’homme en charge de la brigade contre la fraude douanière au sein de la DGDA/ex-Katanga, Narcisse
Phambu Ngembo, s’est inscrit inébranlablement et corps et âme dans la droite ligne tracée par ses deux supérieurs, au point que sa participation à cette opération lui vaut à l’heure actuelle d’être celui qui est à reconnaître comme ayant battu le record sur le plan de l’application des mesures mises en place par
sa hiérarchie dans le cadre de la lutte contre la fraude et la contrebande douanières, ces dernières n’ayant
que trop régné au sein de la superficie douanière de l’ex-Katanga. La réussite de cette opération, faut-il le souligner, est basée sur une parfaite collaboration entre la DGDA, le Parquet Général près la Cour d’Appel du Haut-Katanga et la Police Nationale Congolaise, en vue désormais de vérifier la régularité de dédouanement des véhicules vendus à Lubumbashi sur différents parkings sans payer le moindre frais au Trésor et d’en établir les statistiques. La lutte contre cette pratique a pris des proportions inquiétantes et constitue désormais le cheval de bataille de Narcisse Phambu qui, fort du mot d’ordre de sa Commandante en chef, Jeanne-Blandine Kawanda, et de la médiation du Procureur, se dit déterminé à mener ce combat à ses risque et péril jusqu’au bout, son imperturbabilité faisant foi.
Dans sa zone de démonstration de force, il n’a pas mis de côté des approches pédagogiques à l’intention des revendeurs des automobiles à qui il n’arrête d’enseigner à tout bout de champ les notions du civisme fiscal. Pour leur auto-conformation à la règle, l’homme à la tête de la brigade douanière contre la fraude au niveau de l’ex-Katanga a donné aux revendeurs des véhicules un moratoire de 30 jours, avec comme interface la loi douanière en vigueur. Ces derniers reconnaissent être induits en erreurs par les déclarants et sollicitent un partenariat avec la douane pour que ne se reproduisent plus de telles irrégularités qui ne permettent pas au Trésor public de s’approvisionner.
C’est ce qui va dans le même ordre des choses tel que voulu par la Directrice Générale, Madame Jeanne-
Blandine Kawanda qui, travaillant au regard de la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, ne cesse de s’approprier de tout ce qui peut permettre à la caisse de l’Etat de se renflouer légalement.
C’est dans cet ordre de détermination que se situe le sens du combat du sous-directeur Narcisse
Phambu que beaucoup de ses détracteurs ne voient pas d’un bon œil. Ces derniers ont mis en place des
mécanismes de politisation du sens de son devoir qui est plutôt celui de rendre, par le biais de son poste, de loyaux services à sa très chère patrie : la République Démocratique du Congo. Voilà donc ce qui justifie sa permanente présence à la fois au four et au moulin de l’Opération Coup de poing initiée par sa Directrice Générale, Jeanne-Blandine Kawanda. Reste à souligner qu’en plus de 1145 véhicules ci-haut évoqués, Narcisse Phambu a réussi à saisir une affaire de 1450 containers frauduleusement entrés.
Fiko Kasongo