
Monsieur l’éditeur
J’ai lu avec peine votre article publié dans votre édition en ligne intitulé : »EPST Province Éducationnelle du Haut-Katanga 1, lIPP Nicolas Nuange Bizy est dans la mafia avec des écoles privées.
Cet article truffé de propos mensongers, diffamatoires et calomnieux, de nature à porter atteinte à ma réputation et à ma dignité m’oblige à vous adresser le présent droit de réponse que la loi vous oblige à publier intégralement et dans les mêmes conditions:
.1 Rédigé dans un français approximatif, cet article parle d’une autre personne que moi dans la mesure où je venais d’être muté de la Province Éducationnelle Tshopo 1à celle
du Haut-Katanga 1, il y a de cela, une année.
.2 Votre déontologie vous oblige à cueillir l’information à la source. Vous auriez mieux fait de vous ressourcer auprès des banques par vous évoquées pour en connaître les numéros des comptes et leurs intitulés afin de les brandir d a n s votre article, au lieu de m’en attribuer sans preuves. Après vous avoir lu religieusement, je n’ai pas malheureusement vu quelque part où vous avez fait mention du deuxième son de cloche qui devrait obligatoirement paraitre pour respecter le code d’éthique et de
déontologie de journaliste. En mon entendement, el deuxième son de cloche est une deuxième information que vous devez obtenir auprès de moi afin de mieux informer vos lecteurs.
- Dans le but de nuire à ma personne, vous avez fait un raccordementfrauduleux avec la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements publics, une mission pour laquelle, Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi m’a déplacé de la Tshopo 1 pour Haut-Katanga 1 avec le Directeur Provincial de l’EST, Monsieur Mwinkeu Tshiend Joseph, suite au fait que cette dernière n’était plus de mise durant l’année scolaire 2021-2022. Le proved et moi, avons réussi à l’assoir et à la pérenniser en restant éveillés contre toutes sortes d’antivaleurs. Voilà d’ailleurs q u i iustifie notre nouvelle politique de la gestion deproximité, en étant régulièrement présents dans les écoles d e notre ressort.
4.
En ce qui concerne les frais perçus dans les écoles privées agréées, sont ceux fixés dans l’arrêté du gouverneur de province pour les frais administratifs et ceuxfixés par el Promoteur de l’école, conformément à l’article 180 de la loi cadre de l’enseignement. Et donc, l’IPP n’a jamais été l’autorité qui fixe les frais scolaires dans la province. Je te demande de te référer aux textes légaux. Il n’existe dans aucune école, des frais connexes fixés par l’IPP, que les élèves payent, comme cela est dit dans ton article.
5.
S’agissant de ma collaboration avec les inspecteurs chefs des pools, je t’informe que c’est d’ailleurs après mon retour de la Tshopo1, que j’ai rétabli le climat de confiance et j’ai impulsé une nouvelle dynamique en ce qui concerne le travail de l’inspool à l’appréciation d’eux tous. Dans mes réunions hebdomadaires que j’ai instaurées chaque samedi avec tous les Inspecteurs chefs des pools, j’ai toujours lu en eux, l’expression de joie et fierté d’appartenir au même corps dirigé par moi, pour un même combat, qui est d’assoir et de pérenniser la gratuité de l’enseignement primaire, de lutterfarouchement contre les antivaleurs et d’améliorer la qualité de l’enseignement par la bonne gouvernance et redevabilité dans notre province éducationnelle; - Je ne veux pas croire que vous fassiez partie des journalistes qui ont développé le sens élever de truander par les chantages en livrant les honnêtes gens à la vindicte populaire pour des gains immédiats et sordides;
7.
Voilà pourquoi, je sollicite l’implication des instances de régulation et d’autorégulation qui me lisent en copie, de bien vouloir veiller sur pareilles pratiques qui avilissent votre profession des hommes dignes et de bien vouloir vous rappeler à l’ordre.
Dans l’attente de vous lire, je me réserve le droit de saisir toutes les instances compétentespour me remettre dans mes droits, au cas où vous ne publiez pas ce droit de réponse.