Avec la mise en service de la société Trans-Academia, prévue pou très bientôt au bénéfice de toute la communauté estudiantine congolaise, le Chef de l’Etat en exercice, Félix-Antoine Tshisekedi, a de fortes chances de compter parmi son électorat tous les étudiants de la République Démocratique du Congo, toutes provinces confondues.
Cette assertion est tirée d’un sondage que nous avons effectué parmi un échantillon de la population estudiantine, en lien avec les 600 bus que le Chef de l’Etat vient de mettre à leur disposition.
Les étudiants congolais n’auront plus de difficultés au regard de leur déplacement du domicile à l’auditoire et de l’auditoire au domicile. Cela est valable aussi pour ceux qui vivent dans les homes, chaque fois qu’ils pourront se sentir le besoin de faire un crochet à la maison pour des raisons par exemple de ravitaillement.
Dans leurs transports de joie, les étudiants, allusion faite à notre échantillon, nous ont révélé leur intention de voter en faveur de Félix-Antoine Tshisekedi en 2023.
Le plus heureux des étudiants au cas où le Chef d’Etat actuel serait élu, ce serait, faut-il le révéler, celui qui entrera en 1er Graduat à partir de la tant attendue année électorale.
C’est selon que son cursus serait échelonné sur les 5 ans de la prochaine mandature de celui qui est désormais reconnu comme étant le bienfaiteur des étudiants.
Ce jeune étudiant déjà bénéficiaire d’une facilité de transport pour 5 ans, du moins s’il sait monter des classes, évoluera graduellement ‘’pas à pas’’ avec les 5 années successives du président élu à l’issue de sa candidature à sa propre succession.
Ce futur cadre congolais se retrouvera, à l’issue de ses 5 ans à l’Université, c’est-à-dire en 2027, avec un cursus arrivé à terme au même moment que la fin du mandat du Chef de l’Etat reconduit.
Pendant ce temps, en plus de savoir gré au Président de la République pour son précieux cadeau, les futures élites de demain prient ce dernier de bien vouloir songer à leur rouvrir des réfectoires.
Ceci permettra à ceux qui habitent les homes de ne plus se retrouver à la fois au cours et au moulin. Chose vue de nos propres yeux au marché de Mbanza-Lemba où vous trouvez des étudiants, sachets en mains, en train de chercher des machines à moudre. C’est pendant que dans l’auditoire, il se dispense un cours à très haute pondération.
St. G.E. /Le Tonnerre