LE DG BARNABÉ MUAKADI MUAMBA,
AUTEUR D’UN BILAN RICHE EN
MOBILISATION DES RECETTES FISCALES

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UNE FORTE PROJECTION POUR 2023

Voilà ce qui justifie le sens du certificat qui vient de lui être octroyé à Houston, Etat de Texas, aux Etats Unis, par une organisation Américaine dénommée  » North South Investments », NSI en sigle, qui a reconnu en lui Meilleur Manager de l’année 2022. Cette distinction, faut-il le souligner, vaut son
pesant d’or dans la mesure où ce haut cadre du pays, depuis son élévation au poste de Directeur Général de cette régie financière de la République Démocratique du Congo, n’arrête de faire preuve à la fois de sa
technicité en matière fiscale et de sa bonne gouvernance. Il faut dire que sous son leadership éclairé, la DGI a réalisé des recettes record dans un contexte économique mondial très difficile, souvenez-vous du covid 19. Pour rappel, déjà en 2021, soit une année après sa prise de fonctions en qualité de Directeur Général de la DGI, intervenue en juin 2020, Barnabé Muakadi Muamba avait clairement affiché ses
ambitions avec en tête sa connaissance exacte de ce qu’il était appelé à faire.

A l’international, il estdésormais considéré comme un gestionnaire modèle. Foi sur ses propos, ce prix, Barnabé Muakadi le dédie à tout le personnel de la DGI, à son ministère de tutelle, à savoir, celui des Finances, à tout le gouvernement de la République Démocratique du Congo que dirige le Premier
ministre Jean-Michel Sama Lukonde et, au plus haut point, au Chef de l’Etat Félix Tshisekedi.

Foi sur ses tout premiers actes de gestion en tant que tel, l’homme à la tête de cette grande régie financière de la République Démocratique du Congo n’a pas tardé à faire preuve de sa totale implication dans la logique de maximisation des recettes fiscales. Sa foi en Dieu, en sa qualité de dispensateur des
temps et des saisons fertiles, son attachement à la vision du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, son savoir-faire incontestable, son style de gestion, sa technicité, son expérience de plus de 30 ans de service ainsi que son esprit managérial hors pair, voilà ce qui constitue le secret de son fonctionnement qui lui permet de savoir quoi faire pour que les recettes coulent.

Lors de sa prise de contact avec ses cadres et agents à qui il n’avait pas caché sa foi en Dieu entre les mains de qui il avait confié la DGI ainsi que sa détermination à faire de la Direction Générale des Impôts une administration fiscale à la fois forte et techniquement assise sur une mobilisation tous azimut des recettes, via un recours rationnel à tous les indicateurs de gestion de l’impôt. Sa vision y relative, il ne l’avait pas voulue en déphasage avec ce qui a été fait par ses prédécesseurs, chose qu’il avait réussi à améliorer par l’entremise d’une maximisation des recettes qu’il s’était donné le devoir d’orienter vers
la matérialisation des objectifs leur assignés en lien avec la mobilisation des recettes fiscales. quatre dispositifs d’appui informatique qui ont fini par améliorer la collecte et la gestion des
recettes fiscales. C’est dans cet ordre qu’il est parvenu à numériser tous les services par la création d’une banque des données connectée à un réseau interbancaire accessible par un site web performant mis au service de tous les contribuables. Voilà donc ce qui a permis à la DGI de battre le record durant l’exercice budgétaire 2022, en ayant apporté au compte du trésor public un équivalant de 3,3 milliards de USD. La détermination du DG Barnabé Muakadi, c’est de clôturer cet exercice 2022 avec une mobilisation fiscale
équivalant à 5 milliards de USD, ce qui fait par conversion 11 milliards francs congolais. Pour y arriver, l’homme avait pris l’option de se servir en guise d’outils le renforcement et la consolidation des capacités
humaines et institutionnelles, en promouvant, entre autres, le civisme fiscal, la systématisation des indicateurs de rendement, l’assainissement des répertoires et surtout la sécurisation des procédures d’assiettes et de recouvrement, lequel a aidé à renforcer le contrôle fiscal jusqu’à faire ramener à la DGI tous les arriérés fiscaux. Sa collaboration avec la Banque Centrale du Congo, BCC, a été d’une grande contribution.
Parmi ses autres stratégies utilisées, il y a la mise sur pied des outils qui ont permis à la DGI de devenir beaucoup plus performante que jamais. Parmi eux, l’arrimage de la DGI sur les nouvelles technologies
de l’information et de la communication, NTIC, en ayant réussi à installer Loin de se contenter de cette moisson abondante, Barnabé Muakadi trouve que jusque- là, par rapport à la RDC et vu les potentiels qu’a le pays, c’est encore rien. Voilà ce qui justifie sa détermination à lancer avant la fin de l’année
2022 de nouvelles réformes qui vont tripler encore les recettes de la DGI. Le Directeur
de la DGI promet donc de dépasser de loin ses assignations. Une preuve de plus qu’il est
l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. ‘’Avec l’appui du gouvernement nous sommes en mesure d’aller au-delà. Que le gouvernement nous soutienne et nous aurons à lui donner tous les moyens possibles pour bien faire sa politique’’, a-t-il rassuré lors d’une interview. C’est en connaisseur de sa matière que le DG Barnabé Muakadi n’a pas mâché ses mots pour annoncer la projection évaluée à plusieurs milliards des USD des recettes fiscales jamais égalées pour 2023. Au sujet de la Taxe sur la Valeur Ajoutée
(TVA) telle qu’en usage à l’heure actuelle en République Démocratique du Congo, le DG de la DGI dit cette dernière contenir encore quelques failles qui méritent correction.
Foi sur ses affirmations, la TVA constitue une mine d’or qui échappe jusqu’ici au contrôle de l’administration fiscale et voilà ce quijustifie son vouloir corriger cet impair.

A l’en croire, avec la TVA, le nouveau logiciel permettra de renflouer suffisamment les caisses de l’Etat. Voilà pourquoi, Barnabé Muakadi ne se fatigue pas de sensibiliser les Congolais d’être des responsables
vis-à-vis de leur devoir fiscal qu’il dit être l’unique façon pour permettre au gouvernement de disposer des moyens pour construire des routes, ponts, hôpitaux, écoles et autres édifices. ‘’Je vous dis que quand nous avons pris la direction de la DGI en juin 2020, la TVA nageait entre 70 milliards et 80 milliards de FC, alors qu’au jour d’aujourd’hui nous sommes déjà à 170 milliards de FC, un équivalent d’environ 85 millions de $. Et si nous avons ce logiciel, je vous rassure que la TVA va doubler ; ça va partir de 170 milliards à 340 milliards de FC le minimum, soit 170 millions de $ ’’, a-t-il éclairci chiffre à l’appui.
C’est au regard de ce qui vient d’être dit que le mandataire en charge de la Direction Générale des Impôts propose à sa hiérarchie que soit mis à la disposition de la régie financière placée sous sa responsabilité un logiciel de gestion de la Taxe sur la Valeur Ajoutée de nature à lui permettre de faire valablement face à certaines évasions fiscales qui persistent encore. ‘’Nous avons un défi pour donner au gouvernement les moyens pour faire sa politique. Nous sommes là pour soutenir notre président de la République qui prône la bonne gouvernance, nous devons le soutenir dans sa politique : la bonne gouvernance. Il a
un projet pour ce pays. J’ai toujours dit : lui, c’est le Moïse que Dieu a choisi pour délivrer la RDC, mais lui seul ne saura pas. Voilà pourquoi nous sommes là pour lui accorder tous les moyens possibles afin de l’aider à faire développer la République Démocratique du Congo’’, parole du Directeur Général en
charge de la Direction Générale des Impôts. Deuxièmement, c’est la bonne gouvernance prônée par notre président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Nous sommes là pour le soutenir dans cette bonne gouvernance.

Fiko Kasongo

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