
Dans un contexte marqué par l’insécurité grandissante et la trahison de certains compatriotes, deux camps se dessinent de plus en plus clairement : celui des patriotes, et celui de ceux qui aspirent à un chamboulement de l’ordre constitutionnel, appelant ouvertement au renversement du pouvoir confié par le peuple au Président de la République, Son Excellence Félix Tshisekedi Tshilombo.
Malheureusement, cette tendance déstabilisatrice s’infiltre même dans notre noble profession de chevaliers de la plume. Entre les journalistes qui défendent le régime constitutionnel de Fatshi et ceux qui s’emploient à vilipender les actions du gouvernement, un fossé profond s’installe.
Ce qui est encore plus préoccupant, c’est que de nombreux journalistes qui critiquent violemment le régime sont pourtant soutenus directement ou indirectement par certains caciques de l’Union sacrée, voire par des chefs de corps. Des informations concordantes confirment que plusieurs figures influentes de la majorité présidentielle jouent un double jeu : tout en affichant leur loyauté au pouvoir, elles financent discrètement des porte-voix de l’opposition ou de l’ennemi, espérant ainsi préserver leur place dans l’arène politique en usant de ruse et de duplicité.
Pendant ce temps, les journalistes patriotes ceux qui défendent sincèrement la République, le régime de Fatshi et les intérêts de la nation ne sont ni reconnus, ni soutenus. Certains sont même intimidés, étouffés, marginalisés pour empêcher leurs doléances d’atteindre le Chef de l’État.
C’est une situation profondément décourageante pour ceux qui, dans l’ombre, livrent un combat médiatique loyal pour le pays.
C’est pourquoi un appel respectueux est lancé à la Première Dame : qu’elle plaide la cause de ces journalistes patriotes auprès du Président de la République. Il est temps que justice et reconnaissance leur soient accordées.
Christian Zeus Ilunga