
Le Patron de Safrimex et Socimex se distingue ce dernier temps par son ingérence outrancière dans la vie politique congolaise et économique de la RDC.
Ce ressortissant libanais, uper actif dans le milieu économique congolais depuis les années 80, s’est illustré par des pratiques peu recommandables, notamment le non-paiement d’impôts et taxes, la surfacturation, sans compter les mauvais traitements qu’il fait subir à ses employés congolais.
Selon nos sources, ses sociétés doivent plusieurs millions de dollars américains aux entreprises publiques congolaises. A titre d’indication, sieur Ibrahim Issaoui doit à la CVM 7 millions de dollars américains qu’il refuse de payer. Empêchant ainsi cet Établissement public de remplir convenablement sa mission, celle de baliser la seule voie maritime que la RDC dispose, comprise entre la cité de. Banane jusqu’à Matadi.
Ne respectant aucune des règles qui régissent le secteur économique de la RDC, ce sujet libanais fait l’objet d’une forte contestation de la part des congolais. Raison pour laquelle de nombreux experts en matière économique exigent son expulsion immédiate et sans dérogation du territoire national, au motif qu’il s’est véritablement révélé comme un bourreau de l’économie congolaise.
Par ailleurs, il importe de rappeler c’est cet homme qui a tout manigance pour faire capoter le projet du gouvernement congolais de signer un accord de pêche avec l’Etat Namibien, afin que les poissons chinchards soient vendus à Kinshasa et à travers tout le pays à un prix accessible à tous.
C’est toujours cet opérateur économique peu orthodoxe qui est à la base de la défiscalisation de 9 produits alimentaires de consommation courante. Aujourd’hui, plusieurs mois après ces mesures édictées par le Ministère de l’économie, on ne voit aucune baisse des prix de ces 9 produits sur le marché. Par conséquent, aucun impact positif direct sur le panier de la ménagère.
D’où la question de savoir qui peut bien être derrière cet homme d’affaires, pour qu’il puisse se donner le culot de narguer tout un peuple, dans son propre pays ? D’aucuns ne savent. En attendant, Monsieur Ibrahim Issaoui continue à défier la République, au nez et sous la barbe des autorités gouvernementales. Dommage !
Le Tonnerre