RDC : Plus de Quatre Décennies Après, le Pacte International des Droits Civils et Politiques Appelle à une Renaissance du Respect Humain

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Le 1er novembre 1976, le Zaïre d’alors, cher au regretté Floribert Chebeya, grand défenseur des droits humains, rectifiait et adhérait au Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Cet engagement, devenu un jalon fondamental de l’histoire de la République démocratique du Congo, plaçait le pays au cœur du concert des nations attachées à la dignité humaine, à la liberté et à la justice.

Près d’un demi-siècle plus tard, en ce 1er novembre 2025, l’heure est à la réflexion et à la responsabilité.
Membre du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, la RDC porte le devoir sacré de promouvoir et de protéger les droits humains dans toute leur étendue — un impératif d’autant plus crucial dans un contexte marqué par des conflits armés, des violences communautaires et des atteintes répétées aux libertés fondamentales.

Le Pacte, pierre angulaire du droit international, n’est pas un simple texte symbolique. Il consacre des valeurs universelles : le droit à la vie, la liberté d’expression, la justice équitable et la dignité de chaque être humain. Ces droits, inaliénables et indivisibles, doivent être au centre de l’action publique, de la gouvernance et de la conscience nationale.

En rappelant cette date historique, des voix comme celle d’Alex WELO appellent à revivifier l’esprit du Pacte et à replacer l’humain au cœur des priorités de l’État.
Le respect strict — et sans négociation — de la souveraineté nationale doit aller de pair avec celui de la souveraineté morale et juridique qui découle du respect des droits de l’homme.

Car un pays ne devient véritablement souverain que lorsqu’il respecte, protège et élève la dignité de son peuple.

Que vive la souveraineté d’un Congo fort, juste et respectueux de ses citoyens.

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