Délestage comme règle dans la desserte en électricité, des coupures intempestives, des installations défectueuses, les ménages facturés alors qu’ils n’ont pas consommé le courant électrique, voilà autant de griefs que la Nouvelle Société Civile porte contre les autorités de la Société Nationale d’Electricité (SNEL SA).
À charge du Directeur Général de la SNEL SA particulièrement, la Nouvelle Société Civile retient la gestion défaillante qui met en péril la vie de la population à cause de l’obscurité qui permet aux malfrats d’opérer. Ce manque du courant met également en mal l’économie du pays dans ce sens les usines et les petites unités de production ne savent plus tourner à plein régime.
Pour masquer son incompétence, le Comité de gestion que dirige Fabrice Lusinde crie chaque jour au vol de ses câbles et le sabotage de ses installations dans le Haut-Katanga.
Ce que l’opinion publique n’arrive pas à comprendre, c’est que la SNEL SA a suffisamment des moyens recruter des agences de surveillance pour sécuriser son outil de production, mais sa Direction Provinciale ne le fait pas.
Il s’agit pour la Société d’une défaillance qui frise la traîtrise. N’est-ce pas là une stratégie bien pensée par le Directeur Général de la SNEL SA pour soulever la population contre l’autorité établie, et ainsi fragiliser celle-ci de l’intérieur ? Pour la nouvelle société civile, c’est tout comme.
Enfin, la NSC par la bouche de son Président national Tshombela demande aux Élus nationaux de se pencher de nouveau sur le cas Fabrice Lusinde en vue de sa mise à l’écart pour incompétence, caractérisée par une gestion défaillante.
Une certaine opinion pense que l’honorable Augustin Kabuya est en partie responsable de cette situation, car le Parti présidentiel, l’UDPS, au nom de sa doctrine » le peuple d’abord, ne pouvait tolérer en aucun cas que la population soit aussi martyrisé par un homme venu de nulle part, et qui n’a jamais mené le combat de la démocratie ainsi que de la bonne gouvernance.
Fabrice Lusinde est le prototype des mandataires publics médiocres qui doivent dégager illico presto.
ERIC KAKA
