
SOS : L’Editeur Fiko Kasongo du Groupe de Presse » Le Tonnerre » menacé de mort.
Lorsque le Chef terroriste Corneille Nangaa a clamé à haute et intelligible voix qu’il avait ses pions à Kinshasa, au sein des institutions de la République et des services de sécurité, nombreux sont ceux qui ont pris cette nouvelle avec des pincettes, argumentant que cet ancien président de la CENI le faisait dans le but de donner une épaisseur politique.
Mais après la prise des villes de Goma et de Bukavu par les troupes Rwandaises, les masques tombent un après l’autre, et les collaborateurs de Kagame au sein des institutions, de la Police et de l’Armée nationales ne se cachent plus.
C’est le cas d’un Major Félix de l’IPKIN qui, certainement sous les ordres de sa hiérarchie et des officines politiques en intelligence avec l’AFC/M23, veut coûte que coûte faire taire le Journal Le Tonnerre et donner la mort à son Éditeur, Fiko Kasongo.
Le jeudi 20 février 2025, alors qu’il était dans ses courses au centre ville, notre Éditeur a fait l’objet d’une filature, mais il a réussi à semer ses poursuivants qui étaient à bord d’une voiture.
Arrivé quelque part, l’Editeur a parké sa jeep. Croyant qu’il était à l’intérieur du véhicule en stationnement, ces gens sont venus le cogner, espérant l’atteindre par ce coup. Lorsque les témoins de cet événement ont crié à l’accident, ces hommes en tenues civiles ont démarré leur voiture et pris la poudre du canon. Au moment où nous alertons les autorités compétentes, tant civiles que militaires, la jeep de notre Éditeur est très endommagé et sa vie menacée par les collaborateurs de M23 qui ne supportent pas les analyses pertinentes que notre organe de presse fait pour condamner l’agression Rwandaise.
Au Chef de l’Etat, nous disons que l’ennemi est déjà au sein de son entourage et qu’il doit absolument faire très attention à ses alliés, surtout ceux en provenance de la Kabilie. La même village doit être étendue aux commandants de la PNC et des FARDC, dont certains obéissent toujours aux ordres de Kigali.
Pour notre part, nous avons décidé de ne point céder aux intimidations et de faire, comme à l’accoutumée, notre travail d’informer et de former notre peuple à la défense de la Patrie en danger.
Le Tonnerre