La réunion de crise convoquée par le président Félix Tshisekedi dans la nuit du 19 au 20 septembre à la Cité de l’Union africaine n’a pas suffi à ramener la sérénité au sein de l’UDPS.
Le camp de Deo Bizibu, secrétaire général adjoint, persiste à contester l’autorité d’Augustin Kabuya, secrétaire général du parti, et annonce même une procédure de remise et reprise avec ce dernier. Cette rivalité traduit une fracture profonde qui fragilise la cohésion de la formation présidentielle.
Alors que l’UDPS est censée incarner la discipline et donner l’exemple aux autres partis, les tensions internes restent vives et mettent en lumière une crise de leadership toujours non résolue.
Jeff Kakese ✍🏽
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