
Décès de l’artiste musicien Labe Ekasa alias Ekopi Molo: La Questeure Adjointe de l’Assemblée Nationale pleure avec toute la province du Bas-Uele
La Députée nationale et Questeure adjointe de l’Assemblée nationale, Grâce Neema Paininye, était, le vendredi 07 février 2025, en visite de reconfort dans la famille biologique de l’artiste musicien Dieudonné Labe Ekasa Ekopi Molo We nd’osombi, décédé le 27 janvier dernier, à Kinshasa, après une longue et pénible maladie.
À son arrivée au lieu du deuil, la porte-voix de la Grande Orientale a commencé par se recueillir devant la photo de l’illustre disparu, occasionnant même le versement de ses larmes suite aux souvenirs de cette vedette qui a porté haut les couleurs de la culture non seulement du bassin de l’Uele mais aussi de l’espace Grand Oriental en général.
Croyante convaincue, c’est par la prière que la « Mère Theresa « du Bas-Uele a entamé sa conversation avec la famille de l’illustre disparu qu’elle a invitée à l’unité en ce moment de dure épreuve traversée par elle. L’élue d’Ango a rappelé à l’épouse du défunt, à ses enfants ainsi qu’à ses membres de famille que l’artiste Dieudonné Labe Ekasa alias Ekopi Molo we nd’osombi était une grande personnalité qui mérite des hommages dignes de son rang. D’où le respect de sa mémoire par un comportement qui l’honore pendant le temps des obsèques. Comme au début de l’échange, c’est par une brève prière que tout s’est terminé.
Rappelons qu’en date du 25 janvier 2025, soit deux jours avant sa mort, Honorable Grâce Neema, immédiatement après sa marche de soutien aux FARDC et au Président de la République, s’était rendue au chevet du lit de l’artiste alors interné à l’hôpital du Camp Lufungula où il était pris en charge bien que visiblement très affaibli par la maladie. Comme à l’accoutumée, la porte-étendard de la Grande Orientale l’avait réconforté par une exhortation basée sur la parole de Dieu en l’invitant à être le premier à croire en sa guérison et surtout à mettre sa foi en Dieu.
« Dieu a donné, Dieu a repris, que son nom soit loué ! »
Ghislain Boba