Au sein du Cadastre Minier (CAMI), le malaise grandit. Plusieurs agents dénoncent la manière dont le Directeur général, Popol Mabolia, gère cette entreprise stratégique. Selon eux, il ne serait pas suffisamment qualifié pour diriger une structure aussi technique, qui requiert une expertise pointue, notamment celle d’un géomètre ou d’un spécialiste du domaine minier.
Les critiques portent notamment sur sa tendance à signer des documents « les yeux fermés », sans maîtriser les enjeux techniques du secteur. Pour les collaborateurs, une telle gestion fragilise la crédibilité du CAMI, censé jouer un rôle central dans l’encadrement du secteur minier congolais.
Face à ces inquiétudes, les agents appellent les autorités à prendre en compte la nécessité de placer à la tête de cette entreprise une personne compétente et véritablement aguerrie aux réalités du domaine. Le tonnerre
