L’honorable Maitre Adrien PHOBA, Président National du Parti Alliance des Démocrates Nationalistes Congolais, ADENAC en sigle, Analyse scrupuleusement l’écologie politique de la semaine dernier en RDC, surtout en ce qui concerne la levée des imunités du Sénateur à vie Joseph Kabila kabange. L’ADENAC estime que certains acteurs politiques de notre Pays, ne comprennent rien et alors rien. Le statut de Sénateur à vie n’est pas synonyme de l’impunité car nul n’est au dessus de la Loi. L’ADENAC se dit ne pas comprendre la position très ambigüe du Sénat autour de cette question, pourtant la chambre des sages doit mettre au premier plan la République, la Patrie en danger et l’intérêt supérieur de la nation au dessus des clivages, des mesquineries politiques et des considérations partisanes. Pour L’ADENAC, la Loi du 26 juillet 2018 portant statut des anciens Président ne cautionne pas l’impunité au Congo. Un Sénateur à vie a des droits et des devoirs vis à vis de la nation congolaise. L’Adenac dénonce avec vèhèmence des manoeuvres dilatoires sur base des accointances partisanes, tribalo-ethniques et régionales, surtout certains dinosaures de l’ancien régime se trouvant au Sénat qui veulent à tout prix bloquer les poursuites judiciaires contre le Sénateur à vie. Laissez la Justice militaire faire son travail. Tenez, toute proche de nous ici en Afrique, l’ancien Président Mauritanien vient d’être condamné par la justice de son Pays. En France, l’ancien Président Nicolas Sarkozy est dans les demelées judiciaires avec la Justice Française. Le parlement Congolais, dont le Sénat, doit être le so socle de la démocratie dans notre Pays. Le Sénat doit impérativement considérer que le glas a sonné, fini les régimes des into intouchables et des roitelets au Congo. Tout le monde est égal à la loi. Le Président National du Parti Alliance des Démocrates Nationalistes Congolais l’ADENAC, l’honorable Me Adrien PHOBA
« Adrien Phoba » le sénat doit servir la république, pas les clansOu soitSénat en crise de conscience : L’adenac plaide pour une justice sans privilèges »
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