À la Maison Blanche, le président américain Donald Trump a personnellement accueilli les ministres des Affaires étrangères de la République Démocratique du Congo et du Rwanda, quelques heures après la signature d’un accord de paix inédit entre les deux pays, en proie à une crise prolongée dans l’Est congolais.
« Si quelqu’un ne respecte pas cet accord, il y aura des conséquences », a lancé Trump avec fermeté, qualifiant ce pacte de “moment historique pour la paix en Afrique centrale”.
Alors que cette initiative est saluée à l’international, une attente cruciale reste : la mise en œuvre effective.
Sur le terrain, les populations victimes des violences armées veulent croire à un tournant réel, après des années de souffrance. Elles espèrent que l’implication directe de Trump ne restera pas un simple effet d’annonce, mais qu’elle conduira à des mesures concrètes de désescalade, notamment le retrait des groupes armés et la restauration de l’autorité de l’État dans les zones touchées.
Avec cette déclaration forte, Donald Trump engage désormais sa crédibilité dans un processus qui, s’il est respecté, pourrait marquer une nouvelle ère de stabilité régionale.
Jeff Kakese ✍🏽