Il se célèbre demain mercredi 1er mai 2024, à l’échelle planétaire, la 138è édition de la journée internationale du travail.
À l’Office National des Transports, en République Démocratique du Congo, cette journée trouve son Directeur Général, Martin Lukusa, avec un devoir accompli en lien avec le thème global de son édition 2023, intitulé : »Résilience et travail décent : agir ensemble au sein du monde du travail pour améliorer les conditions de vie et l’inclusion sociale ». C’est ce qui se constate partout au sein de l’espace ONATRA où on le voit en train de construire et de réhabiliter les infrastructures, tant sur le plan immobilier, ferroviaire que portuaire.
Sur le plan immobilier, il n’y a qu’à voir la réhabilitation à l’échelle nationale des immeubles qui constituent la valeur immobilisée de l’Office.
Du côté ferroviaire, ce grand ingénieur en matière des Transports a, depuis un certain temps, réussi à faire retourner sur les rails, laissés par Henry Morton Stanley, et qu’il a réussi à désensabler, le train Kinshasa-Matadi. C’est pendant que du point de vue portuaire, il est, tout ce dernier temps, au four et au moulin en supervision des travaux de construction du quai d’embarcation sur le fleuve Congo. C’est en perspective, faut-il le rappeler, du projet de modernisation de la navette Kinshasa-Brazzaville, ainsi que de celui de désengorgement de la ville de Kinshasa via une desserte fluviale Kinshasa/Centreville-Maluku. Une dizaine de taxis-canots rapides sont, à cet effet, déjà fin prêts.
Le DG Martin Lukusa a en permanence dans sa tête l’idée de redresser sur tous les plans l’Office National des Transports, en faisant de lui le cadre de meilleure prestation des services pour le bien-être à la fois de ses cadres et agents et du gouvernement de la République Démocratique du Congo.
Depuis son élévation à son poste, Martin Lukusa ne cesse de conscientiser ses cadres et agents pour qu’ils se détournent de toute tentative de vol et de détournement de fonds, de peur que ces derniers impriment leurs effets pervers sur ce qu’il entrevoit de faire pour le compte du bien-être de l’ensemble : bonnes conditions de travail et bonnes conditions sociales, via une bonne rémunération en temps opportun. Martin Lukusa n’oublie pas le principe qui veut que la rémunération pour le 1er Mai soit majorée de 100% pour chaque travailleur.
Ce premier Mai 2024, jour mémorable de la fête du Travail, voilà ce qui doit constituer l’occasion pour les cadres et agents de l’ONATRA l’opportunité d’adresser leurs félicitations et remerciements à leur guide, Martin Lukusa Panu, pour ses efforts constants et son professionnalisme. Ces derniers, il ne cesse d’en faire preuve, nuit et jour, en faveur de la meilleure marche des affaires au sein de ce grand office des transports.
Ce 1er Mai, c’est donc pour Martin Lukusa, entrevoit-on, une journée idéale pour une rencontre en équipe avec ses vaillants cadres et agents, journée durant laquelle il va tirer parti d’un moment décalé afin de les encourager dans une atmosphère de fête hors pair.
Le 1er Mai, faut-il le rappeler, est une fête qui tire son origine à l’occasion du Centenaire de la Révolution Française, en 1889, lors de la 2è Internationale socialiste à Paris, sous l’impulsion de Jules Guesde; de son vrai nom Jules Bazile, fondateur de la section française de l’Internationale Ouvrière ainsi que du Parti Ouvrier Français. C’est en ce moment-là qu’il a été décidé de faire de cette date, aujourd’hui célèbre, une journée de la célébration du travailler.
Tout commence donc le 1er Mai 1886, lorsque les syndicats américains se mobilisèrent pour réclamer une journée de travail de 8 heures.
Cette fête, telle qu’elle est célébrée de nos jours, tire son bien fondé dans les combats du mouvement ouvrier qui tenaient à obtenir cette dite journée de 8 heures, à la fin du 19è siècle.
Voilà ce qui justifie chez le DG Martin Lukusa sa multiplication des initiatives pour le bien-être de ses cadres et agents, comme évoqué au niveau du titre.
LE TONNERRE/ Aime Kodiemoka
