Quand Safrimex Réhabilite… la Population Souffre : Surfacts, Tuyaux Brisés et CÂBLES et Poteaux Arrachés

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La société de construction Safrimex, dirigée par Ibrahim Issaoui, enchaîne les marchés publics en République Démocratique du Congo, particulièrement dans le domaine de la réhabilitation des routes. Mais derrière l’image d’un acteur du développement se cache une réalité beaucoup plus sombre : surfacts à répétition, destruction d’infrastructures vitales et négligence flagrante.

Premièrement, la surfacturation des travaux est un secret de polichinelle. De nombreux rapports font état de budgets gonflés pour des routes de qualité discutable, posant des questions sur la transparence des marchés obtenus par Safrimex.

Deuxièmement, lors des travaux, des tuyaux de la Regideso sont régulièrement coupés, laissant des quartiers entiers sans accès à l’eau potable. Et ce, sans que la société ne prenne l’initiative de réparer les dégâts causés, exposant ainsi les populations à des conditions de vie encore plus précaires.

Enfin, les poteaux et câbles de la Snel ne sont pas épargnés. Les machines de Safrimex les arrachent au passage, privant de nombreuses familles d’électricité, parfois pour des périodes prolongées, sans coordination apparente avec les services techniques concernés.

La population congolaise, déjà confrontée à un accès limité à l’eau, à l’électricité et à des infrastructures routières fiables, voit sa situation empirer à cause de cette gestion irresponsable. Il est temps que la SNEL et la REGIDESO soient impliquées dans le suivi de ces travaux, et que Safrimex soit tenue responsable des dommages qu’elle cause.

Construire des routes ne doit pas rimer avec détruire des vies. Le tonnerre

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