En marge de 76 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, ou soit dans le cadre des 74 ans de la célébration de la Journée internationale des Droits de l’Homme, établie depuis 1950, le président du Cadre de Concertation des Droits Humains en République démocratique du Congo, Alex Welo, a fait une communication dans laquelle il a loué les efforts du Chef de l’État à travers ses programmes salutaires tels que Genocost, Fonarev, Gratuité de L’Enseignement de Base ainsi que celle de la Maternité.
« Avec l’avènement de l’État de Droit aujourd’hui nous enregistrons des avancées significatives avec des salutaires programmes présidentiels tels que : Genocost, Fonarev, la Gratuité de l’Enseignement de Base, la Gratuité de la Maternité y compris l’accès aux postes des Chefs de Corps des Institutions Étatiques par les personnalités Féminines », a-t-il souligné avant d’applaudir l’initiative du Chef de l’État qui vise favorablement la modification de la constitution.
Il a à cet effet émis le voeu de voir la partie de la Constitution réservée aux Droits et Libertés Fondamentaux des Citoyens être l’objet d’une stricte prise en compte par ceux qui auront en charge ce travail de modification.
Alex Welo a parlé de tous ces programmes du Chef de l’État ci-haut évoqués, ainsi que de son initiative de modifier la Constitution comme étant des raisons valables à la base de la joie qui anime le peuple congolais à célébrer cette 74è Journée Internationale des Droits de l’homme ou, dans le même ordre des choses, ces 76 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Pour le président du Cadre des Concertions des Droits Humains en République démocratique du Congo, la Paix et les Droits Humains sont des vertus qui Amènent l’Humanité vers les Objectifs Durables de Développement.
»Aussi les efforts Collectifs doivent-ils être fournis pour que soit éradiqué une fois pour toutes le phénomène Kuluna qui a longtemps élu domicile dans la ville de Kinshasa », a-t-il déclaré.
Il n’a pas oublié l’insécurité urbaine qui prévaut au moment actuel à Lubumbashi à partir d’où elle est en train de menacer la quiétude à travers toute la nation congolaise.
C’est dans le cadre du même chapitre relatif aux plaintes qu’il a évoqué le plus de 30 ans durant lesquels la République Démocratique du Congo a été victime des graves violations des droits de l’Homme qu’ont occasionnées ces multiples rébellions armées qui continuent a être perpétrées dans sa partie Est et Sud du pays.
Le président du Cadre de Concertation pour les Droits Humains en République démocratique du Congo a déploré au plus haut point l’impact de ces rebellions sur le climat sécuritaire de plus en plus volatile que ces rebellions continuent à faire prévaloir dans ces parties de la République Démocratique du Congo.
»Que vive la République Démocratique du Congo ; que vive la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme », a-t-il conclu sa déclaration.
Le Tonnerre
