
Décidément, l’honorable Léon Nembalemba alias Papa Molière serait retombé dans ses travers, depuis que les congolais de la Commune de Selembao ont refusé de l’élire député national, lui et tous ses enfants.
Ne pouvant plus bénéficier des avantages que lui procurait son statut de parlementaire, il a repris ses vieilles et mauvaises habitudes de faire chanter les autorités du pays, dans le but de leur soutirer des billets voire de bénéficier des avantages obscurs.
Fatigué de s’attaquer au régime Tshisekedi dont il fait pourtant partie, l’homme a décidé de se retourner contre le Directeur Général de l’ONATRA SA, Martin Lukusa Panu, qu’il attaque chaque jour dans sa chaine de télévision » Molière », l’accusant de tous les maux d’israël, sans en apporter des preuves.
Comme dans ses habitudes, cet ancien député national, qui aurait dû se comporter en tout temps et en tout lieu en homme d’Etat, a préféré de se faire passer pour un vulgaire citoyen lambda, avec comme métier de maître chanteur, afin de faire vivre son organe de presse.
Aujourd’hui, c’est le Directeur Général de l’ONATRA SA qui est sa proie facile. Le but du matraquage médiatique contre ce mandataire public, est d’obtenir un espace, gratuitement, dans l’enceinte du port fluvial de Kinshasa pour y installer son centre récréatif.
Comment cet homme voudrait-il qu’il puisse, lui, développer une activité commerciale, et donc lucrative, dans la concession de l’ONATRA SA, sans rien payer au propriétaire ? Et dire que ce sont ces genres de personnages qui nous servent de donneurs de leçons de leadership, de la bonne gouvernance et de la moralité, il y a de quoi nous questionner sur la qualité des opérateurs politiques et des professionnels des médias congolais.
En attendant, l’ONATRA SA continue en ce moment à réhabiliter tous les entrepôts et l’espace du port fluvial de Kinshasa pour y accueillir les clients solvables, en vue de renflouer ses caisses. Par conséquent, Papa Molière peut beau hurler, rien ne changera quant à la matérialisation de ce projet initié par le Comité Martin Lukusa Panu.
Le Tonnerre