


Le Secrétariat Provincial en charge de la Santé Publique de l’Union pour les Valeurs Tshisekedistes, a organisé, samedi 26 octobre, de commun accord avec la Ligue des Femmes Provinciale de Kinshasa du dit parti, dans leur siège situé à Kintambo, une matinée de sensibilisation autour du thème : « lutte contre les cancers
gynécologiques, rôle de la femme politique ».
Cette rencontre a eu lieu dans le cadre d’Octobre Rose, mois d’octobre désormais consacré à la lutte contre le cancer.
Il y avait parmi les orateurs, Docteur Aaron Kazadi, pour le compte du secrétariat organisateur ; madame Tyty Bafuka Shongo, Présidente provinciale de la Ligue des Femmes, ainsi que sa consoeur et supérieure, Lydie-Patricia Lukeba, Présidente Provinciale de ce prestigieux parti placé sous l’autorité morale du Sénateur José Kalala, Premier-Vice Président de la Chambre Haute du Parlement.
Durant sa longue prise de parole, riche en enseignements, monsieur le Docteur a prodigué un certain nombre de conseils aux femmes de l’U.V.T., avec en exergue, une »cordée » de mesures préventives, une série de méthodes de dépistage, une panoplie de signes d’alerte, un éventail des facteurs de prédisposition, ainsi qu’une recette de traitements en cas d’éventuelles ‘contractations ».
Elle a cité pami les mesures de prévention : l’auto-palpation et au nombre des méthodes de dépistage : la mamographie.
Au chapitre des signes d’alerte, Docteur Kazadi a prié les femmes de son parti d’aller vite au dépistage à chaque survenance des saignées »apériodiques », des douleurs durant des rapports sexuels, ainsi que des difficultés »injustifiées » au niveau du bas-ventre et de la région dorsale
Sur le plan de facteurs de prédisposition, il a pointé du doigt l’hérédité génétique, la multipartenarité sexuelle, des rapports sexuels avant l’âge requis, l’usage des pilules contraceptives, l’obésité, les nourritures avec substances carcinogènes, l’automédication, l’alcoolisme, le tabagisme, l’absence d’exercices physiques, des radiations téléphoniques, des infections à virus de l’immunodéficience humaine et la liste n’est pas exhaustive.
Pour ce qui est du traitement en cas d’éventuelles contractations, l’homme de la robe blanche a »prescrit », entre autres, la chirurgie, la radiographie, la chimiothérapie et l’hormonothérapie.
Madame Tyty Bafuka Shongo a, en sa qualité de Présidente provinciale de la Ligue des femmes uvetiennes, parlé de cette connaissance acquise de la part du Docteur comme étant à classer parmi les valeurs que prône l’UVT.
Ce qui leur évitera désormais d’être exposées aux méfaits du cancer. »Sans information, il n’y a pas de vie », dit-on.
À contrario, à mieux saisir sa pensée, l’ignorance constitue l’anti-valeur clé qui mène vers la contractation du cancer.
»Cancer », mot qui signifie maladie caractérisée par une prolifération anormale des cellules, veut aussi dire, dans son sens figuré : tout ce qui est nuisible. C’est le cas ici des causes à la base de sa contractation ci-haut évoquées :
alcoolisme, tabagisme, automédication, multipartenarité sexuelle, relations sexuelles avant l’âge approprié, radiations téléphoniques, absence d’exercices physiques…
L’intervention de la Présidente provinciale du parti, au niveau de Kinshasa, allusion faite à madame Lydie Lukeba, a confirmé celles de ses deux prédécesseurs, mais avec un accent beaucoup plus placé sur quelques propositions qu’elle a faites à l’intention des acteurs étatiques : inclure dans la couverture santé universelle des séances de dépistage gratuites du cancer ; éloigner les antennes des réseaux téléphoniques des habitations humaines.
Lydie Lukeba a parlé de l’UVT comme étant un parti de l’immortalisation des valeurs, surtout celles d’ordre tshisekediste, à traves lesquelles Dieu se trouve au premier plan, l’homme et le bien commun au centre de toute action, le sol »au-dessus » du sous-sol et enfin, la force de la Loi par-dessus la loi de la force.
Avant de clore son propos, elle a prié ses camarades de bien vouloir se mettre à l’abri de toutes ces anti-valeurs, ci-haut déplorées, qu’elles savent désormais être à la base du cancer.
Madame Eulalie Mukaji Wani Ntumba, un autre cadre du parti que nous avons contactée, a émis le voeu de voir en RDC une femme sans cancer dans un environnement sain et avec sur sa table un repas non surgelé.
»Il faut donc mettre désormais un stop à ce genre d’importations », a-t-elle recommandé.
Saint-Germain Ebengo