Lorsqu’il a initié, ensuite matérialisé le projet de la mise en service des taxis fluviaux, après l’acquisition sur fonds propres des canots rapides pimpant neufs, les détracteurs du Directeur Général de l’ONATRA SA, Martin Lukusa Panu, ont parlé d’un projet de prestige et sans lendemain.
Ce qui ne savait pas, c’est que cet homme est un manager visionnaire qui ne pouvait rien entreprendre, sans avoir la certitude de réussite des actes de gestion qu’il pose.
En effet, après avoir lancé les taxis fluviaux dans le trafic, la seconde étape de ce projet, aujourd’hui rentable à tout point de vue, était la construction des débarcadères au Beach Ngobila, afin de permettre l’embarquement et le débarquement des voyageurs dans les conditions optimales de confort et de sécurité. Étape réussie avec succès, au vu des images de ces installations nous parvenues, ainsi qu’avec les témoignages des passagers.
Aujourd’hui, le Beach Ngobila devient, non seulement un site hautement touristique, mais aussi et surtout un poste frontière à la fois moderne et très convoitée.
Selon notre source, du côté de Congo Brazzaville, on n’arrête plus de tarir d’eloges le Directeur Général de l’ONATRA SA et son Comité de gestion pour cette œuvre d’une beauté légendaire et d’utilité publique.
Il nous revient que le Président Sassou Nguesso à félicité le Numéro Un de l’Office National des Transports et voudrait en construire pareil dans l’autre rive du fleuve Congo.
» Nul n’est prophète chez soi, » dit-on. Sinon, Martin Lukusa Panu en serait un en République Démocratique du Congo.
Le Tonnerre
